Maya Youssef

Qanun Dialogues

Maya Youssef, née à Damas, porte à juste titre le nom de « reine du qanun ». Elle quitte sa ville natale pour aller étudier à Dubaï et se retrouve à Londres grâce à une bourse, où elle collabore notamment avec Damon Albarn. Voici ce qu’elle dit de son premier album, plébiscité, Syrian Dreams (2017, Harmonia Mundi, produit par le légendaire Joe Boyd) : « Cet album représente mon voyage personnel à travers les six années de guerre en Syrie. Je vois l’acte de jouer de la musique comme le contraire de la mort ; c’est un acte d’affirmation de la vie et de l’espoir. » Au fil des compositions colorées reposant sur le maqâm arabe traditionnel, laissant toutefois la place à l’improvisation et comportant des éléments empruntés au jazz ou encore au flamenco, se démarque son incroyable virtuosité.

 

Dans le cadre de la série de concerts Qanun Dialogues

قانون (Qanun) veut dire « loi » en arabe. L’instrument fut baptisé ainsi, car il donne dans les ensembles traditionnels la note des autres instruments et du chanteur. Le qanun date du 10e siècle au moins et est originaire du Moyen-Orient, mais se joue également au Maghreb, en Afrique de l’Ouest, en Asie centrale et dans le sud-est de l’Europe. L’instrument en bois, de forme trapézoïdale, composé de 78 cordes, joue aujourd’hui encore un rôle essentiel dans le monde de la musique classique arabe et turque. Moussem et BOZAR présentent cette saison de grands joueurs de qanun en ensemble, en duo et en solo.

www.mayayoussef.com

Maya Youssef, née à Damas, porte à juste titre le nom de « reine du qanun ». Elle quitte sa ville natale pour aller étudier à Dubaï et se retrouve à Londres grâce à une bourse, où elle collabore notamment avec Damon Albarn. Voici ce qu’elle dit de son premier album, plébiscité, Syrian Dreams (2017, Harmonia Mundi, produit par le légendaire Joe Boyd) : « Cet album représente mon voyage personnel à travers les six années de guerre en Syrie. Je vois l’acte de jouer de la musique comme le contraire de la mort ; c’est un acte d’affirmation de la vie et de l’espoir. » Au fil des compositions colorées reposant sur le maqâm arabe traditionnel, laissant toutefois la place à l’improvisation et comportant des éléments empruntés au jazz ou encore au flamenco, se démarque son incroyable virtuosité.

 

Dans le cadre de la série de concerts Qanun Dialogues

قانون (Qanun) veut dire « loi » en arabe. L’instrument fut baptisé ainsi, car il donne dans les ensembles traditionnels la note des autres instruments et du chanteur. Le qanun date du 10e siècle au moins et est originaire du Moyen-Orient, mais se joue également au Maghreb, en Afrique de l’Ouest, en Asie centrale et dans le sud-est de l’Europe. L’instrument en bois, de forme trapézoïdale, composé de 78 cordes, joue aujourd’hui encore un rôle essentiel dans le monde de la musique classique arabe et turque. Moussem et BOZAR présentent cette saison de grands joueurs de qanun en ensemble, en duo et en solo.

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musique / invité