SALON LITTÉRAIRE

Une nouvelle littérature de l'immigration marocaine

littérature/l'immigration marocaine

Traditionnellement, les écrivains marocains s’expriment en plusieurs langues: arabe, berbère, français et espagnol. L’immigration vient élargir le champ linguistique d’expression littéraire pour y ajouter le néerlandais, l’anglais, l’allemand, l’italien et le catalan. Cette multiplicité soulève plusieurs questions liées à la redéfinition d’une littérature nationale. C’est une littérature qui s’est développée ailleurs et avec des références qui appartiennent à d’autres univers culturels. Elle est ancrée dans la culture occidentale et imprégnée de l’imaginaire du pays d’origine. A travers la lecture de cette nouvelle littérature de l’immigration marocaine, se dégagent les perceptions qui coexistent dans le traitement de l’espace marocain et de celui des pays d’accueil. Les migrants tels qu’ils apparaissent dans la littérature d’aujourd’hui, contrairement aux premiers immigrés, savent naviguer dans l’espace européen.

Après 50 ans de présence marocaine en Belgique, cette littérature mérite bien un inventaire. La Belgique compte un bouquet d’auteurs marocains qui écrivent à la fois en arabe, en français et en néerlandais. Convaincu de la qualité des créations littéraires des écrivains marocains du monde, le salon littéraire est un excellent lieu de valorisation de cette littérature diasporique. C’est une occasion pour mettre des écrivains en valeur à travers des rencontres, lectures, ainsi que plusieurs conférences-débats autour du leurs vie entre deux patries. Patrie réelle (qui peut être le pays d’origine, ou le pays d’accueil, ou les deux à la fois) et patrie imaginaire qui est propre à leur créativité et qui ne peut se construire qu’à travers la très vaste patrie de l’écriture... Une patrie sans frontières aucunes.

Moussem Centre Nomadique des Arts vous invite à son deuxième Salon Littéraire dans la bonne compagnie de Abdelkader Benali, Fouad Laroui, Mohammed Berrada, Abdellah Taïa et Rachida Lamrabet.

Lisez également le texte La littérature marocaine : un arbre généalogique en floraison de l’écrivain Taha Adnan, coördinateur artistique du Salon Littéraire.

Traditionnellement, les écrivains marocains s’expriment en plusieurs langues: arabe, berbère, français et espagnol. L’immigration vient élargir le champ linguistique d’expression littéraire pour y ajouter le néerlandais, l’anglais, l’allemand, l’italien et le catalan. Cette multiplicité soulève plusieurs questions liées à la redéfinition d’une littérature nationale. C’est une littérature qui s’est développée ailleurs et avec des références qui appartiennent à d’autres univers culturels. Elle est ancrée dans la culture occidentale et imprégnée de l’imaginaire du pays d’origine. A travers la lecture de cette nouvelle littérature de l’immigration marocaine, se dégagent les perceptions qui coexistent dans le traitement de l’espace marocain et de celui des pays d’accueil. Les migrants tels qu’ils apparaissent dans la littérature d’aujourd’hui, contrairement aux premiers immigrés, savent naviguer dans l’espace européen.

Après 50 ans de présence marocaine en Belgique, cette littérature mérite bien un inventaire. La Belgique compte un bouquet d’auteurs marocains qui écrivent à la fois en arabe, en français et en néerlandais. Convaincu de la qualité des créations littéraires des écrivains marocains du monde, le salon littéraire est un excellent lieu de valorisation de cette littérature diasporique. C’est une occasion pour mettre des écrivains en valeur à travers des rencontres, lectures, ainsi que plusieurs conférences-débats autour du leurs vie entre deux patries. Patrie réelle (qui peut être le pays d’origine, ou le pays d’accueil, ou les deux à la fois) et patrie imaginaire qui est propre à leur créativité et qui ne peut se construire qu’à travers la très vaste patrie de l’écriture... Une patrie sans frontières aucunes.

Moussem Centre Nomadique des Arts vous invite à son deuxième Salon Littéraire dans la bonne compagnie de Abdelkader Benali, Fouad Laroui, Mohammed Berrada, Abdellah Taïa et Rachida Lamrabet.

Lisez également le texte La littérature marocaine : un arbre généalogique en floraison de l’écrivain Taha Adnan, coördinateur artistique du Salon Littéraire.

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